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Méta
Délicieusement cruel. Le prénom du lycéen inquiet (à juste titre) pour son diplôme ajoute un ancrage social particulièrement réaliste et savoureux.
J’espère que, dans le prochain strip, la rencontre (platonique) entre ce vieux prof de lettres alcoolique et la jeune Laisselie, lycéenne toxicomane à la dérive, permettra à celle-ci de s’élever par les études et à celui-là de trouver un sens à son difficile mais sublime métier.
@Djonne: Merci pour ce superbe commentaire en forme de critique gastronomique (délicieusement, savoureux). On aurait pu dire aussi: « ça se laisse bouffer, et ça plâtre bien le bide. »
@Optimiste: MAIS C’EST EXACTEMENT CE QUI SE PASSE DANS LE PROCHAIN STRIP!!! Vous avez fouillé dans mes tiroirs, c’est ça?
méga lol
Terrible. Quand on est comme lui un homme aux rêves déchus, devenu professeur, on a toujours au moins deux façons de faire partager son expérience à son entourage :
-en restant simple et honnête, comme ce professeur
-en utilisant sa classe comme un défouloir
@porn mais merci!
@Bro ill y a aussi ces cas d’hommes aux rêves professoraux dessus, devenus écrivains par défaut, et qui utilisent leur lectorat comme défouloir. N’oublions pas leurs souffrances!
Tristement vrai. . .
Est-ce que ce sera moi dans 20 ans?…
@Clem: Pas tant que tu ne dépasse pas les deux verres de vin par jour!